Les médias sont des victimes de Macron | Daniel Schneidermann
Dans un article 1 publié sur Libération, Daniel Schneidermann utilise son image de critique et d'analyste des médias, pour prendre la défense de toute la médiacratie. De cette médiacratie qui a succombé à la macronite et qui aujourd'hui s'étonne et se scandalise du peu de reconnaissance du nouveau locataire de l'Élysée, alias Jupiter. C'est donc une imposture que je vous narre ici. Préparation de la dinde Dans la première partie de son article, Daniel Schneidermann met un peu d’insolence pour brosser dans le sens du poil son auditoire. Il s’adresse aux lecteurs de Libération, ou plutôt à l’idée qu’il s’en fait, à savoir, ces lecteurs considèrent les hommes et femmes politiques comme des punching-ball — l'argument est tellement peu clivant, que ça simple présence prouve que Daniel drague large, c'est donc un article qui s'adresse au plus grand nombre. Schneidermann moque Macron d'entrée pour vendre son papier, allusion à l'annulation de l